Jean Monnet, architecte de la vassalisation atlantiste

Éric Branca, his­to­rien spé­cia­liste des rela­tions franco-​​américaines, livre une ana­lyse cri­tique et sou­ve­rai­niste de la construc­tion euro­péenne, cen­trée sur Jean Monnet. Branca argue que l’UE n’est pas un pro­jet d’é­man­ci­pa­tion euro­péenne, mais une entre­prise amé­ri­caine pour ancrer le conti­nent dans une dépen­dance éco­no­mique, mili­taire et poli­tique.    1. Introduction : L’Europe actuelle, fidèle à sa “source atlan­tique” Contexte contem­po­rain : Branca ouvre sur la dépen­dance accrue de l’UE vis-​​à-​​vis des États-​​Unis post-​​élection de Trump (2024). Il cite trois “images fortes” : 27 juillet 2025 : Accord com­mer­cial UE-​​USA en Écosse (Ursula von der Leyen et Trump), qua­li­fié de “capi­tu­la­tion” : ouver­ture des fron­tières aux pro­duits US et enga­ge­ment à expor­ter des capi­taux euro­péens vers l’Amérique. 18 août 2025 : Chefs d’État euro­péens ali­gnés à la Maison Blanche, contraints d’a­che­ter des armes US pour aider l’Ukraine. 13 octobre 2025 : Sommet de Charm el-​​Cheikh (Égypte) sur la paix israélo-​​palestinienne, où Trump “dicte” aux lea­ders euro­péens comme un “maître d’école”. Thèse intro­duc­tive : Paraphrasant Jean Jaurès (“C’est en allant vers la mer que les fleuves res­tent fidèles à leurs sources”), Branca affirme que l’UE reste fidèle à sa “vraie source” amé­ri­caine, non euro­péenne. Trump, “dépour­vu de sur­moi”, dit “tout haut ce que ses pré­dé­ces­seurs pen­saient tout bas” : un “bon Européen est un Européen vas­sa­li­sé”. Von der Leyen incarne cette accul­tu­ra­tion, se féli­ci­tant d’in­ves­tir en Amérique pour “main­te­nir leur avance tech­no­lo­gique” (IA), au détri­ment de l’Europe. Problématique : Comment les Européens se sont-​​ils “accul­tu­rés à leur propre vas­sa­li­sa­tion” ? Réponse : en remon­tant 80 ans en arrière, à la fin de la Seconde Guerre mon­diale. 2. Contexte his­to­rique : De la SDN à l’ONU, l’in­té­rêt amé­ri­cain pour une Europe inté­grée Différence entre 1918 et 1945 : Après 1914, les États euro­péens sont “debout” (sauf Autriche-​​Hongrie) ; l’aide US est finan­cière (dettes de guerre), non mili­taire (mythe de “La Fayette nous voi­là”). Après 1945, l’Europe de l’Ouest est “par terre” sans les Américains ; les vain­cus (Allemagne, Italie) sont pas­sifs. L’Europe non com­mu­niste devient un “enjeu de sécu­ri­té” (vs. URSS) et com­mer­cial pour Washington. Rêve euro­péen récu­pé­ré par les USA : Avant 1945, l’i­dée d’ ”États-​​Unis d’Europe” (Victor Hugo) est paci­fiste et euro­péenne (SDN, 1919, sans US). Post-​​1945, les Américains la “prennent en main” via l’ONU (1945), pour mode­ler l’Europe à leurs inté­rêts. 3. Portrait de Jean Monnet : L’ ”homme en avance” et son pro­jet mon­dia­liste Biographie : Né en 1888 (2 ans avant de Gaulle) à Cognac, fils d’ex­por­ta­teur riche (alcools vers UK/​​USA). Élevé sans “conscience dra­ma­tique de la nation” (contrai­re­ment à de Gaulle, né à Lille en 1890). À 16 ans, à la City de Londres : “milieu fer­mé socia­le­ment mais ouvert sur le monde” (Shanghai, Tokyo, New York) – ébauche de la “super­classe mon­dia­li­sée”. Fortune pré­coce (18 ans) via échanges cognac-​​pelures (Canada-​​Révilion). Banquier à New York (Banque Lazard, 1908) ; réfor­mé en 1914, spé­cia­li­sé dans ventes d’ar­me­ment US à Alliés. Influence clé : Pris sous coupe de Paul Warburg (cofon­da­teur Fed, 1913), qui l’i­ni­tie à la poli­tique : “direc­toire mon­dial anglo-​​saxon” ins­pi­ré de Cecil Rhodes. Monnet consacre sa vie au “gou­ver­ne­ment mon­dial” ; l’Europe n’est qu’une “étape” (Mémoires, 1976 : “Les nations sou­ve­raines ne sont plus le cadre […] La com­mu­nau­té euro­péenne n’est qu’une étape vers les formes d’or­ga­ni­sa­tion du monde de demain”). Méthode : Progressive (“spillo­ver effect” : engre­nage irré­ver­sible) pour évi­ter oppo­si­tions. Manipulation : “S’il faut du temps pour arri­ver au pou­voir, il en faut peu pour expli­quer à ceux qui y sont com­ment sor­tir de leurs dif­fi­cul­tés […] Si c’est au prix de l’ef­fa­ce­ment, je choi­sis l’ombre” (Mémoires). Profite des crises pour impo­ser la “dis­pa­ri­tion des struc­tures éta­tiques” au pro­fit du fédé­ra­lisme. 4. Les années de guerre : Monnet, conseiller de Roosevelt et archi­tecte de l’intégration Rôle cen­tral : Dès 1939, via livre de Clarence Streit (proche, ins­pi­ré par Monnet) : Union Now (sous-​​titre : “Proposition amé­ri­caine pour une fédé­ra­tion des grandes démo­cra­ties”). Manuel concret : 1re étape, union des 15 démo­cra­ties atlan­tiques (proto-​​OTAN, 1949) ; trans­fert de 5 pré­ro­ga­tives (citoyen­ne­té, paix/​​guerre, com­merce, mon­naie, com­mu­ni­ca­tions). 1940 – 1943 : Conseiller de Roosevelt (affaires euro­péennes) ; patron du “sys­tème Prê-​​Lease” (Lend-​​Lease : prêts d’armes sans paie­ment immé­diat, créant dettes). Propose fusion franco-​​britannique (16 juin 1940, avec Streit et John Foster Dulles – futur secré­taire d’État, lié à CIA via frère Allen). Échec (armis­tice Pétain), mais méthode révé­lée : crise = oppor­tu­ni­té pour fédé­ra­lisme. Conflit nais­sant avec de Gaulle : 1re ren­contre (juin 1940, Londres) ; de Gaulle refuse dettes du Pre-​​Lease (rem­bourse via empire). Monnet voit de Gaulle comme “os” ; télé­gramme à Roosevelt (1943) : “L’entente est impos­sible avec lui […] Il est un enne­mi de la construc­tion euro­péenne […] Il doit être détruit”. Double jeu : sou­tient de Gaulle pour livrai­sons, mais com­plote (ex. : AMGOT, 1944). 5. Post-​​1945 : La matrice supra­na­tio­nale et l’in­fluence US Départ de de Gaulle (1946) : Plus d’obs­tacle ; libi­do domi­nan­di US et manœuvres de Monnet s’accélèrent. OTAN (1949) : Dispositif mili­taire + assem­blée par­le­men­taire (proto-​​État). CECA (1950−1951) : “Matrice” de l’UE. Déclaration Schuman (9 mai 1950) : paix franco-​​allemande via poo­ling charbon/​​acier, mais “1re étape de la fédé­ra­tion euro­péenne”. Institutions : Haute Autorité (gou­ver­ne­ment supra­na­tio­nal), Assemblée (proto-​​Parlement), Cour de jus­tice (droit UE > droits natio­naux – pri­mat tech­no­cra­tique sur démo­cra­tie). Intérêt US : Imposer volon­té à struc­ture non élue, mal­léable (vs. gou­ver­ne­ments démo­cra­tiques). Collaboration : Élaborée avec Département d’État ; Monnet (24 mai 1950) : “Grâce à la CECA, col­la­bo­ra­tion étroite avec les USA”. Financements occultes : 50 – 100 M$ (1950−1959) via Comité amé­ri­cain pour une Europe unie (pré­si­dé par William Donovan, ex-​​OSS/​​CIA ; suc­cé­dé par Allen Dulles). Contrôle anti-​détournement. Témoignages : Schuman : “C’est Jean Monnet qui, dans un petit hôtel de la rue de Martignac, a ébau­ché […] l’i­dée de la CECA” (même du gou­ver­ne­ment). Pascal Fontaine (secré­taire Monnet) : Opération secrète (9 confi­dents) ; diplo­mates écar­tés car défendent sou­ve­rai­ne­té. Étienne Hirsch : “La sidé­rur­gie n’a pas joué […] Notre pré­oc­cu­pa­tion : dis­pa­ri­tion des sou­ve­rai­ne­tés […] Institutions supra­na­tio­nales qui débor­de­raient l’acier/​charbon”. Échec CED (1954) : Armée euro­péenne sous com­man­de­ment US ; tor­pillé par union sacrée autour de de Gaulle (PCF à extrême droite, comme réfé­ren­dum 2005). 6. Le “duel du siècle” : Résistance gaul­liste et relance mon­net­tienne Traité de Rome (1957) : Monnet (1955, Comité d’ac­tion pour les États-​​Unis d’Europe) : Marché com­mun sans “bar­rières doua­nières […] Pour toutes ces matières, il n’y a plus de fron­tières ni de nations”. De Gaulle (1958) l’in­flé­chit en confé­dé­ral (una­ni­mi­té vs. majo­ri­té qua­li­fiée) ; Crise

L’État profond, sa vie, son œuvre selon Thierry Meyssan

Thierry Meyssan est déci­dé­ment l’a­na­lyste qui offre le plus large pers­pec­tive de la géo­po­li­tique ; et il est éga­le­ment celui qui décode le mieux l’ac­tion de Trump. Synthèse cha­pi­trée des thèmes de la vidéo : Chapitre 1 : Introduction et Contexte Personnel de Thierry Meyssan Chapitre 2 : La Lutte de Trump contre l’État Profond Américain Chapitre 3 : Le “Trident” des Alliances Impérialistes (Israël-​​Ukraine-​​USA) Chapitre 4 : Extension Globale : Le Quatrième Pôle (Japon) et Idéologies Racistes Chapitre 5 : Stratégies de Paix de Trump et Critique des Coalitions Bellicistes Chapitre 6 : Infiltrations dans les Institutions Internationales et Racines Historiques Chapitre 7 : Trump, Héritage et Retour au Droit International Temps limi­té : 3 ans (ou moins si mid­term per­du) pour immense tâche ; risque d’as­sas­si­nat (Meyssan pré­di­sait cela en 2016). Successeur JD Vance (natio­na­liste chré­tien, anti-​​Soros/​​straussiens) comme assu­rance. Défauts humains de Trump (osten­ta­tion finan­cière) éclip­sés par réa­li­sa­tions ; sou­tien néces­saire face à “car­pettes” élites. Décision CIJ (actua­li­té) : Israël doit appli­quer réso­lu­tions ONU et droit huma­ni­taire (aide à Gaza/​​Jordanie ; 100+ vio­la­tions en 80 ans). Retour for­cé au droit inter­na­tio­nal (créé par Russes/​​Français ; reven­di­qué par BRICS). France viole aus­si (ex. : Mayotte). Appel à véri­fier dis­cours vs. actes (ex. : MAE fran­çaise pié­tine droit international).

Tous complotistes ? Petit traité de résistance intellectuelle

Captivante confé­rence d’Idriss Aberkane aux assises de l’UPR édi­tion 2025. En voi­ci une syn­thèse argu­men­taire : Introduction :Développer sa culture géné­rale contre la mani­pu­la­tion des esprits C’est la mani­pu­la­tion des idées qui nous rend “esclaves” dans notre tête, en nous empê­chant de pen­ser libre­ment. Par exemple, ça mène à une perte de contrôle sur nos vies ou sur nos pays (comme dans l’Union euro­péenne). Charles de Gaulle disait en 1934 que la culture géné­rale est la meilleure façon d’ap­prendre à com­man­der sa vie. Le titre pro­vo­ca­teur, “Soyez fier d’être com­plo­tiste”, signi­fie qu’il faut être fier de dou­ter des ver­sions offi­cielles quand elles paraissent sus­pectes, car c’est sou­vent jus­ti­fié. Comment les mots changent de sens : De l’in­sulte à un sym­bole de fier­té Comment le mot “com­plo­tiste” (ou “théo­rie du com­plot” en anglais) a été trans­for­mé en insulte pour faire taire les gens ?? Au début, en 1910, un his­to­rien amé­ri­cain nom­mé James Ford Rhodes uti­li­sait “conspi­ra­cy theo­ry” de manière posi­tive pour décrire un vrai com­plot : des pro­prié­taires d’es­claves du Sud des États-​​Unis qui essayaient d’in­fluen­cer le gou­ver­ne­ment pour étendre l’es­cla­vage. C’était un fait his­to­rique prou­vé. Mais en 1963, après l’as­sas­si­nat du pré­sident Kennedy, une com­mis­sion offi­cielle (la Commission Warren) a don­né une expli­ca­tion qui ne convain­quait pas tout le monde. La CIA, une agence de ren­sei­gne­ment amé­ri­caine, a alors chan­gé le sens du mot dans un docu­ment secret (note 1035 – 96) : “théo­rie du com­plot” est deve­nu une moque­rie pour dis­cré­di­ter ceux qui dou­taient. Aujourd’hui, en 2025, des docu­ments ren­dus publics par Donald Trump prouvent que la Commission avait men­ti, donc ceux qui dou­taient avaient rai­son ! Pour mon­trer que ce n’est pas un cas unique, voi­ci d’autres exemples his­to­riques où des insultes deviennent posi­tives quand les gens les reven­diquent. Par exemple : – Chez les Romains, les rebelles de Spartacus étaient appe­lés “esclaves rebelles” (ser­vile rebelles) comme une insulte, mais ils s’en sont empa­rés avec fier­té. – “Rustique” vou­lait dire “pay­san gros­sier”, mais le poète Virgile l’a ren­du noble dans ses poèmes sur l’a­gri­cul­ture, com­man­dés par l’empereur Auguste. – “Gothique” était une moque­rie pour l’ar­chi­tec­ture des cathé­drales fran­çaises (inven­tée à Saint-​​Denis, ins­pi­rée des forêts), vue comme “bar­bare” par un his­to­rien ita­lien, mais les roman­tiques du XIXe siècle l’ont trans­for­mé en com­pli­ment. – D’autres mots comme “roman­tique” (vul­gaire au XVIIIe siècle), “impres­sion­niste” (moque­rie pour des peintres refu­sés dans un salon), “baroque” (qui vient de “ver­rue” pour dire irré­gu­lier), “queer” (insulte pour homo­sexuel, deve­nue fier­té), “cow­boy” (insulte pour pauvres cow-​​boys au XIXe), ou “big bang” (moque­rie d’un scien­ti­fique en 1949 contre une théo­rie d’un prêtre astro­nome) ont sui­vi le même che­min. Même des objets comme la cra­vate (à l’o­ri­gine un tis­su croate vul­gaire, popu­la­ri­sé par Louis XIV) ou la per­ruque (pour cacher la cal­vi­tie due à la syphi­lis, deve­nue sym­bole des juges anglais) montrent com­ment ce qui est moqué peut deve­nir res­pec­table. Le mes­sage : les puis­sants uti­lisent des mots pour rabais­ser, mais on peut les retour­ner contre eux. Aujourd’hui, les jeunes disent “je suis com­plo­tiste” sans honte, car c’est juste poser des ques­tions. La psy­cho­lo­gie der­rière l’es­cla­vage des idées Pourquoi les gens acceptent d’être “esclaves” dans leur tête ? Harriet Tubman, une abo­li­tion­niste amé­ri­caine qui aidait les esclaves à s’é­va­der via un réseau secret (Underground Railroad) por­tait tou­jours un pis­to­let pour for­cer ceux qui hési­taient à conti­nuer, car psy­cho­lo­gi­que­ment, beau­coup pré­fé­raient la sécu­ri­té connue de l’es­cla­vage plu­tôt que l’in­con­nu de la liber­té – c’est comme un pri­son­nier qui se sent bien dans sa cel­lule rou­ti­nière. Il existe une “impuis­sance apprise” : un psy­cho­logue nom­mé Martin Seligman a élec­tro­cu­té des chiens dans une cage ; au début, ils sau­taient pour évi­ter, mais quand toute la cage était élec­tri­fiée, ils se rési­gnaient. Même en ouvrant la cage, ils ne sor­taient plus, ils avaient inté­rio­ri­sé la cage ! C’est conta­gieux et uti­li­sé par des groupes comme la CIA ou les gué­rillas colom­biennes (FARC), qui font répé­ter “je suis seul” aux otages pour les bri­ser men­ta­le­ment. D’autres expé­riences montrent com­ment on pré­fère suivre le groupe plu­tôt que la véri­té : – En 1951, Solomon Asch a deman­dé à des gens de com­pa­rer des lon­gueurs de lignes ; avec des com­plices qui men­taient, 75 % des par­ti­ci­pants chan­geaient d’a­vis pour se confor­mer, même si c’é­tait évident. – En 1935, Muzafer Sherif a mon­tré que les opi­nions du groupe l’emportent sur nos propres sens. – En 1961, Stanley Milgram a fait croire à des gens qu’ils don­naient des chocs élec­triques mor­tels ; 65 % obéis­saient à une auto­ri­té en blouse blanche, même si ça allait contre leur morale. Dans les cultures où le groupe prime (col­lec­ti­vistes), c’est encore plus fort. Le “com­plot sophisme” (un terme inven­té par un phi­lo­sophe fran­çais, Alexis Haupt) consiste à trai­ter de “com­plo­tiste” qui­conque pose une ques­tion gênante, pour évi­ter de répondre. Ça crée du “gas­ligh­ting” : faire dou­ter de ses propres per­cep­tions, comme quand on a nié que la céré­mo­nie des JO 2024 paro­diait la Cène, mal­gré les aveux de l’actrice Barbara Butch. Des exemples concrets où les “com­plo­tistes” avaient rai­son Presque toutes les guerres des 150 der­nières années com­mencent par un men­songe, car les gens n’aiment pas la guerre – dire la véri­té pour­rait donc pro­mou­voir la paix. – Exemples anciens : Les nazis en 1939 ont tué des pri­son­niers et les ont habillés en sol­dats polo­nais (opé­ra­tion Conserve) pour jus­ti­fier l’in­va­sion de la Pologne ; dou­ter était dan­ge­reux. En 1964, les États-​​Unis ont inven­té un inci­dent naval (golfe du Tonkin) pour entrer en guerre au Vietnam (confir­mé plus tard). Pendant cette guerre, ils ont même modi­fié le cli­mat avec des pro­duits toxiques (opé­ra­tion Popeye), empoi­son­nant des civils. – CIA : Des docu­ments prouvent qu’ils ont tes­té du LSD sur un vil­lage fran­çais en 1951, ou contrô­lé des jour­na­listes (opé­ra­tion Mockingbird). – Irak 2003 : Le secré­taire d’État amé­ri­cain ment à l’ONU sur des armes inexis­tantes ; la presse fran­çaise l’ap­pe­lait “dés­in­for­ma­tion mas­sive” à l’époque. – Ukraine depuis 2022 : Le sabo­tage du gazo­duc NordStream n’é­tait pas russe (Biden l’a­vait mena­cé) ; des mythes comme un pilote fan­tôme (Ghost of Kyiv) ou une île héroïque (Snake Island) ont été inven­tés et démen­tis sans excuses. L’Occident a sou­te­nu des dji­ha­distes en Syrie. – COVID : Les auto­ri­tés disaient que les variants n’exis­taient pas, puis qu’ils étaient pro­té­gés par les vac­cins (non tes­tés sur la trans­mis­sion) ; l’i­ver­mec­tine

Histoire cachée de la Palestine

On nous a sou­vent dit qu’a­vant la créa­tion d’Israël, la Palestine était en gros un désert infer­tile. Au contraire, les don­nées his­to­riques confirment lar­ge­ment l’affirmation que la Palestine, hors le Néguev déser­tique, était une terre fer­tile, avec des régions comme la Galilée (incluant Nazareth) riches en blé, oli­ve­raies et ver­gers. Les rap­ports otto­mans, bri­tan­niques et les témoi­gnages de l’époque (comme celui de Pierre Loti) attestent d’une éco­no­mie agri­cole pros­père, sou­te­nue par des sys­tèmes d’irrigation et une popu­la­tion active. Le mythe du « désert infer­tile » est une construc­tion idéo­lo­gique visant à mini­mi­ser la pré­sence pales­ti­nienne et à jus­ti­fier la colo­ni­sa­tion sio­niste. Cependant, il est impor­tant de noter la varia­bi­li­té géo­gra­phique : cer­taines zones étaient moins pro­duc­tives sans irri­ga­tion moderne. Nazareth et ses envi­rons, comme Safouria, étaient des centres agri­coles dyna­miques. Voilà pour­quoi il est impor­tant de réta­blir les faits et c’est ce à quoi s’emploie l’his­to­rienne Marion Sigaut dans son livre sur Mansour Kadosh. Introduction : Contexte per­son­nel et recon­nais­sance – Prix Palestine et silence média­tique : Marion Sigaut com­mence par men­tion­ner qu’en 1998, elle a reçu le prix Palestine Mahmoud Hamchari pour son livre *Mansour Kardoch, un juste à Nazareth*, publié chez TheBookEdition. Elle sou­ligne le silence total de la presse fran­çaise sur cet évé­ne­ment, illus­trant une forme de cen­sure ou d’indifférence envers son tra­vail sur la Palestine (1:04 – 1:40). – Objectif de l’intervention : Elle sou­haite réta­blir une véri­té his­to­rique sur la Palestine, sou­vent défor­mée par la dés­in­for­ma­tion, en s’appuyant sur son expé­rience per­son­nelle et l’histoire de Mansour Kardoch, un Palestinien chré­tien de Nazareth (0:45 – 1:00). Chapitre 1 : Origines du sio­nisme et pro­messes colo­niales – L’affaire Dreyfus et le sio­nisme : Sigaut relie l’émergence du sio­nisme à l’affaire Dreyfus (1894−1895), qui a divi­sé la France et révé­lé un anti­sé­mi­tisme per­sis­tant. Theodor Herzl, en réponse, publie *L’État des Juifs* (1896) et orga­nise le pre­mier congrès sio­niste à Bâle en 1897, lan­çant l’idée d’un État juif en Palestine (2:00 – 3:24). – Promesses contra­dic­toires des puis­sances colo­niales : – 1915 – Promesse McMahon-​​Hussein : Les Britanniques pro­mettent un État arabe sou­ve­rain en échange du sou­tien des Arabes contre les Ottomans (3:45 – 4:23). – 1916 – Accords Sykes-​​Picot : La France et la Grande-​​Bretagne se par­tagent secrè­te­ment le Moyen-​​Orient, tra­his­sant la pro­messe faite aux Arabes (4:50 – 5:15). – 1917 – Déclaration Balfour : Les Britanniques pro­mettent au mou­ve­ment sio­niste un foyer natio­nal juif en Palestine, sur le même ter­ri­toire pro­mis aux Arabes, créant une contra­dic­tion majeure (5:33 – 6:08). Chapitre 2 : La Palestine his­to­rique et Nazareth – Description de Nazareth : Sigaut pré­sente Nazareth comme une ville pros­père et mul­ti­con­fes­sion­nelle, centre de la Galilée, avec une coexis­tence his­to­rique entre chré­tiens et musul­mans. Elle cite Pierre Loti (1894) pour décrire la fer­ti­li­té de la région, contre­di­sant l’image d’une terre aride (6:20 – 7:12). – La famille Kardoch : Mansour Kardoch, né en 1920, appar­tient à une famille chré­tienne de Nazareth qui exploite un mou­lin dans la rue du Puits de Marie. Cette famille illustre la vie pales­ti­nienne avant les bou­le­ver­se­ments (7:18 – 13:01). – Contexte intel­lec­tuel pales­ti­nien : La Palestine des années 1920 – 1930 est décrite comme un centre intel­lec­tuel avan­cé, avec un fort taux de sco­la­ri­sa­tion (27 % de la popu­la­tion) et une riva­li­té avec le Liban pour l’éducation (14:06 – 17:18). Chapitre 3 : L’expropriation des terres pales­ti­niennes – Mécanisme de l’expropriation : À la fin du XIXe siècle, l’Empire otto­man impose un cadastre, obli­geant les vil­lages pales­ti­niens à décla­rer des pro­prié­taires indi­vi­duels. En l’absence de pro­prié­taires nomi­na­tifs, des notables (effen­dis) s’enregistrent comme pro­prié­taires, pro­met­tant de pro­té­ger les vil­la­geois. Dans les années 1920 – 1930, ces terres sont ven­dues à des ache­teurs juifs à des prix exor­bi­tants, sou­vent avec l’exigence d’expulser les pay­sans (8:18 – 11:56). – Conséquences : Les pay­sans pales­ti­niens sont chas­sés de leurs terres, rem­pla­cés par des colons juifs qui cultivent eux-​​mêmes la terre, contrai­re­ment à une colo­ni­sa­tion clas­sique où les autoch­tones sont exploi­tés comme main‑d’œuvre. Ces expro­pria­tions mas­sives jettent des familles sur les routes, les trans­for­mant en pro­lé­ta­riat urbain (12:29 – 12:35). – Statistiques : En 1948, 93 % des terres pales­ti­niennes appar­tiennent encore aux Palestiniens ; seules 6 à 7 % ont été ache­tées léga­le­ment. Le reste est pris par la vio­lence et l’expropriation (40:13 – 40:43). Chapitre 4 : La révolte pales­ti­nienne et la Nakba – Révolte de 1936 : Face à l’arrivée mas­sive d’immigrants juifs, une grève géné­rale para­lyse la Palestine pen­dant six mois, pro­tes­tant contre l’inaction bri­tan­nique. La répres­sion anglaise est bru­tale, avec 3 000 morts et la des­truc­tion de la vieille ville de Jaffa (17:51 – 19:57). – Nakba de 1948 : Après le départ des Britanniques (15 mai 1948) et la pro­cla­ma­tion de l’État d’Israël, les armées arabes, mal équi­pées, échouent à contrer l’offensive israé­lienne. Des mas­sacres, comme celui de Deir Yassin (9−10 avril 1948), sont uti­li­sés comme arme psy­cho­lo­gique pour pro­vo­quer un exode mas­sif des Palestiniens (27:52 – 29:49). – Safouria : Le vil­lage pros­père de Safouria, près de Nazareth, est rasé en juillet 1948 après un bom­bar­de­ment. Ses 7 000 habi­tants fuient, et le site est trans­for­mé en moshav israé­lien (Tzipori), deve­nu un site tou­ris­tique (30:37 – 32:34). Chapitre 5 : La vie sous occu­pa­tion mili­taire – Nazareth en 1948 : Après l’occupation israé­lienne, Nazareth devient un refuge pour des mil­liers de dépla­cés. La ville passe sous un régime mili­taire strict, avec couvre-​​feu et res­tric­tions de mou­ve­ment. Mansour Kardoch est contraint de fer­mer son mou­lin en rai­son de nou­velles normes impo­sées, le rédui­sant à vendre des glaces et de la limo­nade pour sur­vivre (33:14 – 37:36). – Discrimination sys­té­mique : Les Arabes israé­liens (250 000 en 1948) sont sou­mis à une dic­ta­ture mili­taire, avec des lois com­pa­rées par un juriste israé­lien à celles de l’Allemagne nazie. Les terres sont confis­quées pour des rai­sons « d’urgence » ou parce qu’elles sont consi­dé­rées comme sans pro­prié­taire, même si les pro­prié­taires ont été chas­sés (35:32 – 38:54). – Biens waqf : Les biens musul­mans des­ti­nés à l’aumône (waqf) sont sai­sis, pri­vant les com­mu­nau­tés de res­sources essen­tielles (39:06 – 40:02). Chapitre 6 : Résistance des Arabes israé­liens – Mouvement Al-​​Ard : Mansour Kardoch et d’autres Arabes israé­liens créent *Al-​​Ard* (« La Terre »), une publi­ca­tion clan­des­tine pour main­te­nir un lien avec le monde arabe et dénon­cer les injus­tices. Soutenus par des Juifs pro­gres­sistes, ils appellent au boy­cott des élec­tions israé­liennes, jugées non démo­cra­tiques (47:03 – 49:59). – Mémorandum à l’ONU (1964) : Incapables d’obtenir une auto­ri­sa­tion pour publier léga­le­ment, ils envoient un mémo­ran­dum de 13 pages à l’ONU, récla­mant l’égalité des droits, la fin des dis­cri­mi­na­tions et l’application du plan de par­tage de 1947. Ce docu­ment, igno­ré par

Qui est réellement la présidente de l’Europe ?

Ursula von der Leyen incarne les nou­velles élites euro­péennes post-​​1945 : tour­nées vers les USA via l’OTAN, l’UE et des réseaux comme la French-​​American Foundation. Son père pose les bases ; son par­cours, de mère au foyer à “impé­ra­trice” euro­péenne, repose sur pri­vi­lèges, réseaux fami­liaux et scan­dales étouf­fés. Le dia­logue insiste sur cette “main­mise amé­ri­caine” sur l’Europe, en muta­tion sous la nou­velle géné­ra­tion trum­pienne, mais per­sis­tante par “classe et his­toire”. Origines fami­liales : une aris­to­cra­tie trans­at­lan­tique liée au coton et à l’esclavagisme Ursula von der Leyen (née Albrecht en 1958) porte un héri­tage germano-​​américain. Sa famille réunit la haute bour­geoi­sie de Hanovre et l’a­ris­to­cra­tie colo­niale bri­tan­nique implan­tée aux États-​​Unis au XVIIIe siècle. Les Latson, une de ses lignées fami­liales amé­ri­caines, sont des indus­triels du coton, pro­prié­taires d’es­claves et de plan­ta­tions, impli­qués dans l’es­cla­va­gisme et la guerre de Sécession. Son arrière-​​grand-​​mère est amé­ri­caine, rema­riée à un négo­ciant de coton, ce qui fait d’elle une “germano-​​américaine” par le sang. Cet ancrage dans une “aris­to­cra­tie mon­dia­li­sée” pré­fi­gure les alliances trans­at­lan­tiques du capi­ta­lisme nais­sant.  Son père, Ernst Albrecht (né en 1930), est une figure clé : pion­nier de l’Union euro­péenne dès 1954 (CECA, trai­té de Rome), il part se for­mer à New York à 18 ans (1948−1950) pour inté­grer les nou­velles élites ouest-​​allemandes pro-​​OTAN post-​​Seconde Guerre mon­diale. Membre influent de la CDU (démocrates-​​chrétiens), il devient ministre-​​président de Basse-​Saxe. Jeunesse : pri­vi­lèges, menaces et bulle pro­té­gée La jeu­nesse d’Ursula est mar­quée par les menaces contre son père, ciblé par la Fraction Armée Rouge (Bande à Baader-​​Meinhof) dans les années 1970 en rai­son de son rôle dans le “capi­ta­lisme”. La famille vit sous haute sur­veillance, dans un “cocon ultra-​​privilégié”. Scolarisée dans des écoles pri­vées à Bruxelles (où Ernst tra­vaille comme fonc­tion­naire euro­péen), elle passe une grande par­tie de son ado­les­cence en Belgique. À 20 ans, elle s’ins­talle à Londres pour ses études, mais reste pro­té­gée par Scotland Yard en rai­son de pro­jets d’en­lè­ve­ment d’ex­trême gauche. Elle décrit cette période comme fes­tive : décou­verte des bars, boîtes de nuit et mul­ti­cul­tu­ra­lisme lon­do­nien, contras­tant avec l’Allemagne “très blanche”. Aucune trace de trau­ma­tisme ; elle semble avoir gran­di dans une bulle sans en souf­frir. Vie per­son­nelle et études : ren­contre amou­reuse et séjour amé­ri­cain À l’u­ni­ver­si­té en Allemagne, elle ren­contre Heiko von der Leyen, son futur mari, lors d’é­tudes de méde­cine. Issu d’une noble famille d’in­dus­triels de la soie (héri­tiers “du coton et de la soie”), ils se marient rapi­de­ment et ont sept enfants. De 1992 à 1996, la famille vit quatre ans en Californie, où Heiko est pro­fes­seur adjoint à Stanford (Silicon Valley). Ursula y est mère au foyer, sans acti­vi­té pro­fes­sion­nelle notable, bien qu’elle pré­tende plus tard avoir par­ti­ci­pé à des évé­ne­ments uni­ver­si­taires – un “CV gon­flé” démen­ti par les archives amé­ri­caines.  Sa thèse de méde­cine (1991) est enta­chée d’un pla­giat à 43,5 %, recon­nu offi­ciel­le­ment des années plus tard. Malgré cela, son titre de doc­teure n’est pas reti­ré, et elle conserve ses postes poli­tiques sans démis­sion­ner, contrai­re­ment à d’autres cas. Ascension poli­tique : sous l’ombre du père et de Merkel À plus de 40 ans, Ursula entre en poli­tique en 2003, sui­vant les traces de son père. Grâce à ses réseaux CDU, elle gra­vit rapi­de­ment les éche­lons : en deux ans, elle devient ministre régio­nale en Basse-​​Saxe (fief pater­nel). En 2005, Angela Merkel la nomme ministre fédé­rale de la Famille – iro­nie sou­li­gnée, vu son milieu hyper-​​privilégié et son igno­rance pré­su­mée de la “famille alle­mande moyenne”. En 2009, elle passe au Travail, sans expé­rience pro­fes­sion­nelle réelle. En 2013, Merkel la pro­pulse à la Défense, où elle se montre atlan­tiste fer­vente, sou­te­nant l’OTAN face à l’an­nexion de la Crimée (2014) et la pro­tec­tion des fron­tières est-​​européennes (Pays baltes). Scandales et contro­verses : une suc­ces­sion d’affaires étouf­fées Son par­cours est jalon­né de scan­dales mini­mi­sés : – **Affaire McKinsey (2014 – 2015)** : En tant que ministre de la Défense, elle confie 200 mil­lions d’eu­ros de contrats à des consul­tants externes, majo­ri­tai­re­ment McKinsey (firme amé­ri­caine), sans appel d’offres ni trans­pa­rence. Ses enfants (Sophie et David) et son assis­tante (Catherine Suder, ex-​​McKinsey, mili­tante LGBT) y tra­vaillent, posant un conflit d’in­té­rêts fla­grant. L’armée alle­mande reste “au point mort” mal­gré ces dépenses. – **Affaire des SMS effa­cés** : Lors d’en­quêtes, des mes­sages liés à McKinsey dis­pa­raissent de ses deux télé­phones (pro­fes­sion­nel et pri­vé), sup­pri­més “par erreur”. Ursula invoque un assis­tant, mais l’af­faire est étouf­fée, sans consé­quences sur sa car­rière. Ces épi­sodes illus­trent un “CV gon­flé” récur­rent et une impu­ni­té éli­tiste.  Présidence de la Commission euro­péenne : impo­si­tion atlan­tiste et revi­re­ments Nommée en 2019 pour suc­cé­der à Jean-​​Claude Juncker, sa dési­gna­tion contourne les pro­cé­dures démo­cra­tiques : Manfred Weber (CSU) est écar­té par Macron (trop “natio­na­liste”), Frans Timmermans (trop “de gauche”) par les pays de l’Est. Merkel et Macron l’im­posent en cou­lisses ; elle est vali­dée un mois avant par le Groupe Bilderberg (comme Merkel en 2005). En échange, Macron place Christine Lagarde à la BCE. Ursula, “fidéle atlan­tiste” (droite conser­va­trice mais fémi­niste et éco­lo), gou­verne de manière cen­tra­li­sa­trice, s’en­tou­rant d’une équipe germano-​atlantiste.  Sans pro­gramme clair (dis­cours d’in­ves­ti­ture “bidouillé”), elle lance le Green Deal (pro­jet contrai­gnant pour les éner­gies renou­ve­lables), mais le relègue en 2024 face aux réa­li­tés : Covid, crises agri­coles (France, Pays-​​Bas), pres­sions des lob­bys auto alle­mands. Les éco­lo­gistes lui reprochent son revi­re­ment. Relations trans­at­lan­tiques : – Avec Trump (2019−2020) : Une seule ren­contre désas­treuse (2020), où il l’in­ti­mide sur le GNL amé­ri­cain vs. gaz russe, mena­çant l’OTAN. Elle en repart “blanche comme un linge”, accom­pa­gnée de Thierry Breton. – Avec Biden : Alignement total, y com­pris pro-​​israélien (dis­cours sio­niste en 2022 à l’u­ni­ver­si­té Ben-​​Gourion : “L’Europe, ce sont les valeurs du Talmud”). Revirement récent sous Trump 2.0 : sanc­tions contre ministres israé­liens extré­mistes et sus­pen­sion par­tielle d’ac­cords UE-​​Israël, nuan­çant l’hyper-sionisme.  Cet été 2025, elle signe des accords com­mer­ciaux UE-​​USA, vus comme un sym­bole de “vas­sa­li­sa­tion” euro­péenne.   L’affaire McKinsey (ou “Berateraffäre”) impli­quant Ursula von der Leyen L’affaire McKinsey, éga­le­ment connue sous le nom d’ ”affaire des conseillers” (Berateraffäre), désigne un scan­dale sur­ve­nu pen­dant le man­dat d’Ursula von der Leyen en tant que ministre alle­mande de la Défense (2013−2019). Elle porte sur l’at­tri­bu­tion irré­gu­lière de contrats juteux à des cabi­nets de conseil externes, notam­ment McKinsey, sans res­pec­ter les pro­cé­dures d’ap­pels d’offres publics, avec des soup­çons de népo­tisme, de clien­té­lisme et de des­truc­tion de preuves. Le scan­dale a écla­té en 2018 suite

Trump vendu au nouvel ordre mondial ?

La stra­té­gie de Trump est à peu incom­pré­hen­sible pour les médias de grands che­mins. Mais récem­ment, même les sou­tiens du mou­ve­ment Maga parais­saient per­dus devant les pirouettes tac­tiques de leur cham­pion, aus­si bien pour le Moyen-​​Orient qu’en Europe. Ainsi a‑t-​​on vu Trump accu­sé d’être le laquais de Netanyahu, ven­du aux Loubavitch, com­pro­mis dans l’af­faire Epstein, à genoux devant la Silicon Valley, Wall Street ou Big Pharma.C’est pour­quoi les lumières de Sylvain Laforest, l’au­teur de Guerres et Mensonges aux édi­tions Charlou, ont le mérite de dérou­ler la cohé­rence de l’ac­tion du pré­sident américain.

Prémisses d’une révolution de couleur

Une révo­lu­tion de cou­leur désigne une série de mou­ve­ments popu­laires non vio­lents ou contes­ta­taires, sou­vent sou­te­nus par des orga­ni­sa­tions étran­gères, visant à ren­ver­ser un gou­ver­ne­ment per­çu comme auto­ri­taire ou cor­rom­pu, géné­ra­le­ment dans des pays post-​​soviétiques ou en tran­si­tion démo­cra­tique. Ces révo­lu­tions tirent leur nom de l’u­ti­li­sa­tion de sym­boles colo­rés (rubans, dra­peaux) pour mobi­li­ser les foules. Elles se carac­té­risent par des mani­fes­ta­tions de masse, des cam­pagnes de déso­béis­sance civile et une forte média­ti­sa­tion. Caractéristiques prin­ci­pales Contexte : Elles sur­viennent sou­vent dans des pays où les élec­tions sont contes­tées pour fraude ou où le pou­voir est accu­sé de dérive auto­ri­taire. Méthodes : Mobilisation popu­laire via des ONG, des mou­ve­ments étu­diants, des cam­pagnes média­tiques et des stra­té­gies de com­mu­ni­ca­tion modernes (ex. : réseaux sociaux, slo­gans viraux). Soutiens exté­rieurs : Implication fré­quente d’or­ga­ni­sa­tions inter­na­tio­nales, comme des fon­da­tions occi­den­tales (ex. : Open Society Foundations, National Endowment for Democracy), ou de gou­ver­ne­ments étran­gers, sou­vent accu­sés d’ingérence. Résultats : Changement de régime dans cer­tains cas, mais aus­si échecs ou insta­bi­li­té pro­lon­gée. Exemples his­to­riques Révolution des Roses (Géorgie, 2003) : Contexte : Contestation des élec­tions légis­la­tives frau­du­leuses sous Edouard Chevardnadze. Symbole : Roses bran­dies par les mani­fes­tants. Résultat : Démission de Chevardnadze, élec­tion de Mikheïl Saakachvili. Source : Rapport de l’OSCE sur les irré­gu­la­ri­tés élec­to­rales (2003), dis­po­nible via osce.org. Révolution orange (Ukraine, 2004) : Contexte : Fraudes pré­su­mées lors de l’élection pré­si­den­tielle, favo­ri­sant Viktor Ianoukovytch. Symbole : Couleur orange, por­tée par les par­ti­sans de Viktor Iouchtchenko. Résultat : Annulation du scru­tin, nou­velle élec­tion rem­por­tée par Iouchtchenko. Source : Analyse de l’International Crisis Group, “Ukraine : The Orange Revolution” (2005). Révolution des Tulipes (Kirghizistan, 2005) : Contexte : Protestations contre la cor­rup­tion et les fraudes élec­to­rales sous Askar Akaïev. Symbole : Tulipes, asso­ciées au prin­temps et au renou­veau. Résultat : Démission d’Akaïev, insta­bi­li­té poli­tique per­sis­tante. Source : Étude de l’Institute for War and Peace Reporting (IWPR), 2005. Autres cas : Tentatives simi­laires, comme la “Révolution verte” en Iran (2009) ou les mani­fes­ta­tions en Biélorussie (2020), sont par­fois asso­ciées au concept, mais avec des résul­tats variés. La vidéo de Théo Malini montre que les récentes émeutes de Los Angeles ont toutes les carac­té­ris­tiques qui coin­ci­dent avec le concept de révo­lu­tion de cou­leur. Cependant, l’adm­nis­tra­tion Trump amé­ri­caine en est consciente ce qui réduit lar­ge­ment ses chances d’accomplissement.

Comment lever le brouillard autour des “Chemtrails” ?

Il y a confu­sion entre #géoin­gé­nié­rie, ense­men­ce­ment des nuages (#cloud­see­ding) et les fameux #chem­trails. Jim Lee a mené l’en­quête pen­dant des années et son tra­vail mérite le détour.Dans la vidéo com­plète (https://t.co/5ncXvji7Bq) , il montre com­ment pré­dire à coup sûr et avec… pic.twitter.com/RmVzPj2tkQ — soslibertes.com (@soslibertes) June 1, 2025 Il y a confu­sion entre #géoin­gé­nié­rie, ense­men­ce­ment des nuages (#cloud­see­ding) et les fameux #chem­trails. Jim Lee a mené l’en­quête pen­dant des années et son tra­vail mérite le détour. Dans la vidéo com­plète (https://youtube.com/watch?v=bn3HgS6‑Y6s…) , il montre com­ment pré­dire à coup sûr et avec quels outils si les avions vont lais­ser des trai­nées dans le ciel ou pas. Son site est une mine d’in­for­ma­tion his­to­rique sur le sujet. https://weathermodificationhistory.com

Pourquoi l’interdiction des véhicules thermiques défie toute rationalité

Alors que l’UE tente d’im­po­ser aux for­ceps le tout élec­trique, force est de consta­ter que la pro­messe du “zéro émis­sion” de ce genre de véhi­cules est com­plè­te­ment fal­la­cieuse. Cette vidéo déroule impla­ca­ble­ment un argu­men­taire impa­rable en 10 minutes. Une bat­te­rie de voi­ture élec­trique de 75 kwhh néces­site l’extraction de 75 tonnes de mine­rais et génère jusqu’à 20 tonnes de CO2 avant même que le véhi­cule ne quitte l’usine. Ces chiffres cru­ciaux absents des cal­culs d’empreinte car­bone offi­ciel pro­viennent d’études que Bruxelles refuse de publier. Une bat­te­rie stan­dard de voi­ture élec­trique de 75 kWh néces­site un assem­blage com­plexe de lithium cobalt nickel man­ga­nise et gra­phite. Ces maté­riaux ne sortent pas de nulle part. Leur extrac­tion repré­sente une empreinte envi­ron­ne­men­tale mons­trueuse soi­gneu­se­ment dis­si­mu­lée der­rière les dis­cours sur la mobi­li­té durable. Pour obte­nir une seule bat­te­rie de taille moyenne les indus­tries minières doivent extraire jusqu’à 75 tonnes de mine­rais bruts pour ali­men­ter un véhi­cule qua­li­fié de propre. Au Chili dans le désert d’Atacama l’exploitation du lithium prend des pro­por­tions alar­mantes. Le pro­cé­dé d’extraction requière jusqu’à 2 mil­lions de litres d’eau pour pro­duire une tonne de lithium. D’un bout à l’autre du globe le même cau­che­mar envi­ron­ne­men­tal se répète. En République démo­cra­tique du Congo d’où pro­vient l’essentiel du cobalt mon­dial des enfants s’enfoncent quo­ti­dien­ne­ment dans des tun­nels arti­sa­naux creu­sés à la main. Sans équi­pe­ment de pro­tec­tion res­pi­rant des pous­sières toxiques ils risquent leur vie pour quelques euros par jour. À quel prix support-​​nous cette illu­sion éco­lo­gique avant même qu’une voi­ture élec­trique ne quitte l’usine sa bat­te­rie a déjà engen­dré suf­fi­sam­ment d’émission de car­bone pour équi­va­loir à plu­sieurs années d’utilisation d’un véhi­cule ther­mique. Le pro­ces­sus indus­triel néces­saire à la fabri­ca­tion consomme une quan­ti­té d’énergie phé­no­mé­nale prin­ci­pa­le­ment issue de cen­trales à char­bon chi­noise. Le bilan en car­bone com­plet incluant la pro­duc­tion de bat­te­rie devient net­te­ment moins favo­rable à l’électrique que ce que pré­tendent les dis­cours offi­ciels. Dans cer­tains cas sur la durée de vie totale les émis­sions d’un véhi­cule élec­trique peuvent des même dépas­ser celle d’un véhi­cule ther­mique équi­valent. L’industrie et les pou­voirs publics mini­misent sys­té­ma­ti­que­ment ses impacts catas­tro­phiques. Les cal­culs d’émissions offi­cielles se concentrent uni­que­ment sur la phase d’utilisation igno­rant com­mo­dé­ment l’empreinte car­bone mas­sive de la pro­duc­tion. Cette omis­sion déli­bé­rée main­tient le mythe du véhi­cule zéro émis­sion alors que la réa­li­té scien­ti­fique raconte une his­toire bien dif­fé­rente. Quant au déchets géné­rés par l’extraction minière pour chaque kilo­gramme de lithium extrait des cen­taines de kilo­grammes de rési­dus toxiques conta­minent les sols et les nappes fréa­tiques. Ces déchets contiennent des métaux lourds et des pro­duits chi­miques qui per­sis­te­ront dans l’environnement pen­dant des siècles. Cette réa­li­té envi­ron­ne­men­tale est soi­gneu­se­ment dis­si­mu­lée par une indus­trie qui pré­fère van­ter les mérites éco­lo­giques de ces pro­duits plu­tôt que d’admettre leur véri­table impact sur notre pla­nète. Mais l’artifice ne s’arrête pas à la pro­duc­tion. Au-​​delà des dis­cours sur la mobi­li­té durable une mani­pu­la­tion tech­nique s’opère chaque jour sous nos yeux. Les pro­to­coles WLTP cen­sé mesu­rer l’autonomie des véhi­cules élec­triques consti­tuent pro­ba­ble­ment la plus grande mys­ti­fi­ca­tion moderne de l’industrie auto­mo­bile. Un test réa­li­sé dans des condi­tions si par­faites qu’elle n’existe pra­ti­que­ment jamais dans la réa­li­té quo­ti­dienne des conduc­teurs. Le WLTP repré­sente un véri­table spec­tacle en cou­lisse où tout est soi­gneu­se­ment mon­té pour impres­sion­ner mais qui s’effondre dès que le rideau se lève sur la réa­li­té. Ces tests s’effectuent dans un envi­ron­ne­ment contrô­lé. Température idéale conduite à vitesse modé­rée absence totale de chauf­fage ou de cli­ma­ti­sa­tion. En somme un scé­na­rio fan­tai­siste décon­nec­té de votre usage quo­ti­dien. La véri­té s’avère bru­tale. Imaginez par­tir pour un long voyage hiver­nal et voir votre auto­no­mie fondre comme neige au soleil. Lorsque le mer­cure des­cend sous les 5°. Ce phé­no­mène est cou­rant plu­sieurs mois par an en Europe, et l’autonomie s’effondre lit­té­ra­le­ment. Les bat­te­ries lithium ion révèlent leur talon d’Achile une sen­si­bi­li­té extrême aux basses tem­pé­ra­tures qui amputent jusqu’à 40 % de leur capa­ci­té. Voilà un fait scien­ti­fique par­fai­te­ment connu des ingé­nieurs. L’expérience se répète inva­ria­ble­ment chez les pro­prié­taires. Vous ache­tez un véhi­cule annon­cé avec 450 km d’autonomie. Un matin de décembre l’ordinateur de bord n’affiche plus que 270 km. Activez le chauf­fage néces­si­té vitale en hiver et 30 à 50 km sup­plé­men­taires s’évaporent ins­tan­ta­né­ment. Sur auto­route la situa­tion devient cri­tique. À 130 kg par heure bien au-​​delà des vitesses modé­rées des tests WLTP la consom­ma­tion éner­gé­tique explose. Un tra­jet Paris-​​Lyon théo­ri­que­ment pos­sible sans recharge selon les chiffres offi­ciels impose au mini­mum un arrêt pro­lon­gé à mi-​​chemin. Les consé­quences éco­no­miques s’avèrent au consi­dé­rable. Un véhi­cule dont l’autonomie réelle repré­sente seule­ment 60 % des pro­messes com­mer­ciales voit sa valeur d’usage dras­ti­que­ment réduite. Les tra­jets exigent une pla­ni­fi­ca­tion minu­tieuse les détours pour trou­ver des bornes deviennent cou­rants et le temps per­du en recharge impré­vue s’accumule. Plus grave encore les construc­teurs connaissent par­fai­te­ment ses limi­ta­tions. Des tests indé­pen­dants menés dans diverses condi­tions démontrent sys­té­ma­ti­que­ment des écarts de 30 à 50 % entre l’autonomie annon­cée et celle consta­tée sur route. Ces résul­tats ne sur­prennent aucun ingé­nieur du sec­teur, mais demeurent absents des bro­chures com­mer­ciales. La stra­té­gie appa­raît lim­pide. Vendre l’illusion d’une mobi­li­té élec­trique par­faite tout en dis­si­mu­lant ses contraintes réelles. Certains construc­teurs para­mètrent même leur véhi­cules pour affi­cher une auto­no­mie opti­miste lors des pre­miers kilo­mètres créant une illu­sion qui s’efface pro­gres­si­ve­ment. Une mani­pu­la­tion psy­cho­lo­gique lais­sant le conduc­teur dans l’incertitude per­ma­nente. Cette pra­tique déli­bé­rée de sur­es­ti­ma­tion sou­lève des ques­tions éthiques fon­da­men­tales. Lorsqu’un ache­teur se retrouve blo­qué sur l’autoroute en plein hiver parce que son véhi­cule n’a pas tenu la pro­messe d’autonomie cela devient un pro­blème de sécu­ri­té. Des docu­ments confi­den­tiels révèlent même des direc­tives expli­cites pour mettre en avant les chiffres WLTP sans contex­tua­li­sa­tion des condi­tions réelles d’utilisation. Un choix déli­bé­ré de mettre des infor­ma­tions cru­ciales pour le consom­ma­teur. Si l’autonomie fan­tai­siste est le men­songe quo­ti­dien, la dégra­da­tion des bat­te­ries repré­sente la véri­table bombe à retar­de­ment finan­cière. Car au-​​delà des chiffres WLTP trom­peurs se cache un désastre éco­no­mique pro­gram­mé qui attend chaque pro­prié­taire. Prêt à explo­ser pré­ci­sé­ment après l’expiration de la garan­tie construc­teur. Notre bat­te­rie conserve 70 % de sa capa­ci­té après 8 ans ou 160 000 km. Voilà la pro­messe ras­su­rante que vous trou­ve­rez sur les bro­chures com­mer­ciales et les sites des construc­teurs. Une affir­ma­tion tech­ni­que­ment cor­recte, mais déli­bé­ré­ment incom­plète. Ce qu’on ne vous explique jamais c’est la courbe réelle de dégradation

Pfizer a‑t-​il propagé une arme biologique pour réguler les populations ?

Naomi Wolf est une jour­na­liste acti­viste qui, jus­qu’au Covid, était la ché­rie des médias US. Dans cet entre­tien avec la chaine Youtube Tocsin, elle fait état de son par­cours et des révé­la­tions fra­cas­santes que contient son livre The Pfizer Papers : Pfizer’s Crimes Against Humanity.Il est basé sur les docu­ments internes de Pfizer (450 000 pages) obte­nus par un ordre judi­ciaire contre la volon­té du labo­ra­toire.  Voici les points saillants que le livre déve­loppe : Essais cli­niques défaillants : Les essais cli­niques du vac­cin à ARNm de Pfizer contre la COVID-​​19 étaient pro­fon­dé­ment biai­sés, avec des pro­to­coles inadé­quats, et Pfizer savait dès novembre 2020 que le vac­cin n’é­tait ni sûr ni effi­cace. Effets indé­si­rables graves : Plus de 42 000 rap­ports d’ef­fets indé­si­rables (158 893 évé­ne­ments) ont été signa­lés à Pfizer dans les trois pre­miers mois post-​​autorisation (décembre 2020-​​février 2021), incluant plus de 1 000 décès. Pfizer a embau­ché 600 employés sup­plé­men­taires pour trai­ter ces rap­ports, pré­voyant d’en recru­ter 1 800. Manipulation des don­nées : Pfizer a retar­dé l’en­re­gis­tre­ment de décès pour évi­ter leur inclu­sion dans les don­nées sou­mises pour l’au­to­ri­sa­tion d’u­ti­li­sa­tion d’ur­gence (EUA), ce qui, selon les ana­lystes, aurait empê­ché l’EUA si les décès avaient été rap­por­tés à temps. Atteintes à la repro­duc­tion : Les docu­ments révèlent des dom­mages mens­truels à grande échelle (72 % des effets indé­si­rables concer­naient des femmes, dont 16 % liés à des troubles repro­duc­tifs). Les nano­par­ti­cules lipi­diques s’ac­cu­mu­laient dans les ovaires et tra­ver­saient la bar­rière pla­cen­taire, affec­tant les bébés in ute­ro. Pfizer savait que le vac­cin pas­sait dans le lait mater­nel, cau­sant des effets graves chez les nour­ris­sons allai­tés, incluant un décès par défaillance multi-​organique. Myocardite et nou­velle mala­die : La myo­car­dite induite par le vac­cin n’é­tait ni rare, ni bénigne, ni tran­si­toire. Les vac­cins à ARNm ont créé une nou­velle caté­go­rie de mala­die multi-​​systémique appe­lée “CoVax Disease”. Suppression du groupe pla­ce­bo : Pfizer a vac­ci­né envi­ron 95 % des par­ti­ci­pants du groupe pla­ce­bo d’i­ci mars 2021, éli­mi­nant le groupe témoin, ren­dant impos­sible l’é­va­lua­tion com­pa­ra­tive de la sécu­ri­té. Complicité de la FDA : La FDA était infor­mée des lacunes des essais cli­niques et des dom­mages cau­sés par le vac­cin, mais a échoué à pro­té­ger la san­té publique, deman­dant même à la cour de cacher les docu­ments pen­dant 75 ans. Immunité légale : Pfizer, le gou­ver­ne­ment amé­ri­cain et les enti­tés de san­té béné­fi­ciaient de l’im­mu­ni­té légale via le Public Readiness and Emergency Preparedness Act (PREP Act), prio­ri­sant les pro­fits sur la san­té publique. Retard stra­té­gique : Pfizer dis­po­sait de don­nées en octobre 2020 pour annon­cer l’ef­fi­ca­ci­té du vac­cin, mais a retar­dé cette annonce jus­qu’a­près l’é­lec­tion pré­si­den­tielle amé­ri­caine de 2020, poten­tiel­le­ment pour des rai­sons poli­tiques. Crime contre l’hu­ma­ni­té : Les auteurs sou­tiennent que les actions de Pfizer, en alliance avec les gou­ver­ne­ments occi­den­taux, consti­tuent un crime inten­tion­nel, avec des impacts par­ti­cu­liè­re­ment graves sur les femmes et les bébés.   Bref, la thèse de la dif­fu­sion d’une arme bio­lo­gique pour régu­ler la popu­la­tion parait sérieu­se­ment étayée par cette ana­lyse des docu­ments Pfizer. Pas éton­nant que Naomi Wolf soit désor­mais sur la liste noir des médias américains. 

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