Dans les médias, on nous a toujours fait savoir qu’après un accident nucléaire ou une bombe “atomique”, la terre était stérilisée pour des milliers d’années, que la vie en serait bannie pour très très longtemps.
Surprise cependant, à Tchernobyl, le tourisme se développe alors que la faune et la flore explosent (https://www.theguardian.com/environment/gallery/2020/feb/04/tourists-flock-to-chernobyl-in-pictures). Évidemment, la guerre actuelle n’aide pas à développer le tourisme en 2024, mais dans la presse, on voit fleurir de curieux articles sur les “loups mutants” de Tchernobyl :
https://www.tf1info.fr/sante/les-loups-mutants-de-la-centrale-nucleaire-de-tchernobyl-pourraient-avoir-developpe-une-resistance-au-cancer-2285817.html S’ils se reproduisent tranquillement, c’est qu’ils ont forcément muté n’est-ce pas ?
À Fukushima, pas de cancers et là aussi, la vie animale ou végétale reprend ses droits comme si de rien n’était comme le montre la vidéo ci-dessus.
En faisant quelques recherches, on découvre cet incroyable témoignage d’un ancien ingénieur responsable de la sécurité dans les premières centrales aux US : Galen Winsor. À son époque, on faisait la chaine pour transporter le combustible fissible à mains nues et il lui arrivait de se baigner dans la piscine de refroidissement !
Devant la caméra, il n’hésite pas à avaler un morceau d’uranium ! Le moins que l’on puisse dire est que tout cela pose questions… Il évoque aussi le “projet Manhattan” auquel il a participé.