Le Covid-19, le bilan qui pique très fort

Révélé par la crise Covid, le statisticien Pierre Chaillot présente dans cette vidéo du Cercle Aristote, une synthèse saisissante de cette période, contenu qu’il a développé dans ses deux derniers livres dont voici une très brève synthèse argumentaire. Sa méthodologie est de ne s’appuyer que sur l’exploitation des données brutes issues des institutions publiques telles que l’INSEE, EUROSTAT, la DREES ou encore les bases de pharmacovigilance, laissant aux lecteurs le loisir de refaire les calculs à partir des mêmes données. Son premier livre questionne la gravité de la crise du Covid-19, tandis que le second se focalise sur les impacts des vaxxins. Ensemble, ils forment une critique globale des politiques sanitaires, invitant à une relecture des chiffres officiels pour alimenter le débat public. Covid 19, ce que révèlent les chiffres officiels (2023) Dans ce premier ouvrage, Chaillot se penche sur la période initiale de la crise du Covid-19, principalement 2020 et 2021, pour interroger le récit officiel d’une pandémie exceptionnelle. L’auteur commence par examiner la surmortalité en France. Selon lui, lorsqu’elle est ajustée par tranches d’âge pour tenir compte du vieillissement de la population, la surmortalité de 2020 s’aligne sur celle de 2015, une année qu’il qualifie parmi les moins mortelles de l’histoire récente. Pour 2021, elle serait comparable à celle de 2018, également peu élevée. Il conteste ainsi l’idée d’une crise démographique majeure imputable au virus. Chaillot explore ensuite les causes possibles des décès attribués au Covid-19, notamment ceux survenus à domicile. Il suggère que ces morts pourraient résulter de l’abandon des soins pour d’autres pathologies graves (comme les AVC ou les crises cardiaques), d’une baisse des prescriptions d’antibiotiques ou encore de conditions de vie précaires (logements insalubres), exacerbées par une peur médiatique. Selon lui, ces facteurs auraient été sous-estimés au profit d’une focalisation exclusive sur le virus. Sur la gestion hospitalière, il remet en question les chiffres avancés concernant l’occupation des lits. Il soutient que les données ont été présentées de manière sélective, amplifiant la perception d’une saturation des services de santé. Il critique également la fiabilité des tests PCR, arguant que leur utilisation massive pour diagnostiquer le Covid-19 a conduit à une surévaluation de l’épidémie, les cas positifs n’étant pas nécessairement synonymes de maladie grave ou de décès. Reste la question des vaxxins. Pierre Chaillot affirme que les statistiques officielles ne montrent pas de différence significative entre vaccinés et non-vaccinés en termes d’hospitalisations ou de mortalité, remettant ainsi en cause leur efficacité présumée. Selon lui, les chiffres officiels, lorsqu’ils sont analysés dans leur globalité, révèlent des « anomalies gigantesques » qui contredisent le discours dominant. Victimes des vaccins Covid 19, ce que révèlent les chiffres officiels (2025) Dans son second livre, publié en 2025, Pierre Chaillot recentre son analyse sur les conséquences de la campagne de vaccination contre le Covid-19. Toujours basé sur des données officielles, cet ouvrage explore les effets indésirables des vaxxins, les évolutions démographiques et la reconnaissance des victimes potentielles. Chaillot commence par recenser les effets secondaires graves rapportés dans les bases de pharmacovigilance, comme les AVC, les infarctus, les myocardites, les cancers ou encore les aménorrhées. Il souligne que leur fréquence dépasse largement celle observée avec d’autres vaxxins, selon les données collectées en France et à l’international. Il met également en lumière une augmentation des décès, notamment chez les jeunes, dans plusieurs pays après le déploiement des vaxxins, établissant une corrélation temporelle qu’il associe à ces derniers. Un autre point central de son argumentation concerne la natalité. L’auteur observe une baisse généralisée des naissances depuis 2021, qu’il lie à des perturbations hormonales ou reproductives potentiellement induites par les vaxxins. Cette hypothèse s’appuie sur des statistiques démographiques qu’il présente comme un signal alarmant. Chaillot déplore ensuite ce qu’il appelle une « invisibilisation » des victimes. Il soutient que les personnes affectées par les vaxxins sont ignorées par les autorités, les médias et la société, en raison d’un déni collectif. Ce silence serait motivé, selon lui, par la difficulté à remettre en question la politique vaccinale et à assumer la responsabilité des décideurs. Il critique également l’absence d’études approfondies sur l’efficacité réelle et les risques des vaxxins, quatre ans après leur mise en circulation. Malgré des signaux clairs dans les données, aucune analyse officielle n’aurait été menée pour éclaircir ces questions. En conclusion, Chaillot appelle à une reconnaissance des victimes, appuyée par des chiffres qu’il rend accessibles et vérifiables en ligne. Il voit dans cette démarche un moyen d’éviter une répétition de cette « tragédie » et de briser le tabou entourant les effets vaxxinaux.
Les agriculteurs pour les libertés

Comment contraindre, taxer, empêcher, détruire ? Comment imposer la nouvelle donne mondialisée : ce nihilisme contemporain ! Un enjeu débuté il y a 50 années : Comme une réponse stupide à la stupidité déjà en action au 20ème siècle avec les guerres meurtrières qui avaient déjà montré combien la folie humaine est capable du pire, parée de la modernité pseudo scientifique. Le nihilisme abreuvé au matérialisme égalitaire n’est pas né d’hier pour dire qu’il ne peut se résoudre en un tour de main ! Reprendre à la base l’état des lieux, reconstruire les savoirs, le respect, la pratique , l’espace à visage humain c’est à dire centré sur une vie vivable et non utopique , trompe l’œil , miroir aux alouettes . Travail et sa valeur réelle et diverse, famille et ses généalogies complexes, patrie ou territoire où se transmet la mémoire vécue et les origines culturelles enracinées… Remettre les uchronies, utopies au placard peu à peu … Cela impose réflexion, réalisme, esprit critique aiguisé : cet esprit, le meilleur des « Lumières » doit quitter les mirages de l’argent facile : celui des jeux bancaires internationalisés. Toutes ces questions sont celles qui permettent de penser que la liberté est encore possible si on la souhaite vraiment, modestement, humainement. Des milliers de personnes ont conscience de cela et travaillent dans ce sens mais on ne leur donne pas la parole, on continue de vouloir les détruire en leur vantant le contraire : IA, communication virtuelle, médias peu enclins à les recevoir. Méthode : Étouffer les dialogues, éloigner les décideurs comme on le fait si bien dans “notre Europe” fédéraliste. Notre association souhaite rebâtir ce respect du dialogue : une micro résistance indispensable, capable de changer vraiment dans le bon sens un système qui montre son incohérence et son épuisement. Voir à ce sujet cet entretien avec Michel Onfray