2020 – 2025 : êtes-vous un complotiste épanoui ?

Le terme “complotiste” est un formidable outil des médias de grands chemins pour mettre fin à tous débats et tous questionnement qui les dérangent ; leur secret étant de l’asséner à longueur de journée et de provoquer comme un réflexe pavlovien chez leurs auditeurs-spectateurs. Cependant,ces cinq dernières années, tellement de “théories du complot” se sont avérées que cela méritait un petit inventaire. Hypothèse de la fuite du laboratoire pour le COVID-19 Théorie : Le virus ne provient pas d’un « saut » de la chauves-souris au pangolin dans un marché humide, mais s’est échappé de l’Institut de virologie de Wuhan, peut-être conçu artificiellement. Évolution : D’abord rejetée comme une conspiration farfelue en 2020 et censurée sur des plateformes comme Twitter, elle a gagné en crédibilité en 2021 quand le Département de l’Énergie et le FBI ont jugé une origine en laboratoire plausible, appuyés par des rapports de renseignement. Des documents déclassifiés et des témoignages sur la recherche de gain de fonction à Wuhan (partiellement financée par des subventions américaines) ont alimenté le débat. Un récent documentaire de France 5 confirme cette évolution : https://www.youtube.com/watch?v=HK-rA5j6GbQ Effets secondaires des vaccins COVID Théorie : Les vaccins à ARNm n’étaient pas aussi sûrs qu’annoncé, pouvant causer des problèmes cardiaques ou des caillots, et leur efficacité était exagérée. Évolution : En 2020 – 2021, douter de leur sécurité était tabou — taxé d’anti-vaccin. En 2023, des études (comme les données VAERS du CDC ou des rapports européens) ont confirmé des risques rares mais réels, comme la myocardite, surtout chez les jeunes hommes. Les documents de Pfizer, dévoilés sous ordre judiciaire, montraient une connaissance précoce d’effets indésirables. L’efficacité contre la transmission a aussi diminué, validant certains doutes. Pas un complot géant, mais la formule « sûr et efficace » s’est nuancée. Ivermectine comme traitement du COVID Théorie : Ce médicament bon marché a été supprimé par Big Pharma et les régulateurs malgré son efficacité. Évolution : Ridiculisé comme « pâte pour chevaux » en 2021, avec des mises en garde de la FDA, de petites études (par exemple en Inde, au Brésil) ont suggéré qu’il réduisait la gravité en début de traitement. Une méta-analyse de 2023 dans le Journal of Infection a trouvé des bénéfices modestes, bien que non miraculeux. L’idée d’une censure pour favoriser les vaccins a été partiellement validée quand le NIH l’a discrètement listé comme option en 2022. Toujours controversé, mais plus une pure fiction. Schéma identique pour la Chloroquine et l’Hydoxyhloroquine, des médications pourtant utilisées sans dommages depuis plus 70 ans. Le Scandale des SMS de Ursula von der Leyen (2021−2023) Théorie : La présidente de la Commission européenne aurait négocié en secret des contrats de vaccins Pfizer par SMS avec le PDG, puis “perdu” les messages. Confirmation : En 2022, la médiatrice européenne a critiqué l’opacité. En 2024, des enquêtes ont montré que ces deals à 35 milliards d’euros sentaient le favoritisme. Les SMS ? Toujours pas retrouvés. Oups, quelle maladresse ! L’Affaire des Masques en France (2020−2021) Théorie : Au début de la pandémie, le gouvernement français aurait menti sur les stocks de masques, disant qu’ils n’étaient pas si utiles… parce qu’il n’y en avait presque plus ! Confirmation : En 2021, des enquêtes (dont une du Sénat) ont révélé que les stocks stratégiques avaient été laissés à l’abandon depuis des années. Agnès Buzyn, ex-ministre de la Santé, a admis sous pression que c’était un “mensonge d’État” pour cacher la pénurie. Les “masques inutiles” sont devenus un symbole de cafouillage monumental ! Le Watergate Britannique : Partygate (2021−2022) Théorie : Boris Johnson et son équipe auraient organisé des fiestas à Downing Street pendant les confinements stricts imposés au public. Confirmation : En 2022, le rapport de Sue Gray a confirmé une douzaine de soirées, avec photos d’un BoJo verre à la main. Il a écopé d’une amende, une première pour un PM en exercice. “Règles pour vous, pas pour nous”, le slogan qui a fait tomber un clown politique ! L’ordinateur portable de Hunter Biden Théorie : Un ordinateur abandonné dans un atelier de réparation au Delaware contenait des preuves de corruption liées au fils de Joe Biden, étouffées par les géants technologiques et qualifiées de désinformation russe. Évolution : En octobre 2020, l’histoire du New York Post a été écrasée — Twitter a bloqué des comptes, et plus de 50 experts du renseignement ont crié à l’opération russe. En 2022, The Washington Post et The New York Times ont authentifié les données, incluant des emails sur des affaires étrangères. Le FBI a confirmé posséder l’ordinateur depuis 2019. Ce qui était « fake news » est devenu un vrai scandale, même si son ampleur reste discutée. Augmentation de la surveillance gouvernementale Théorie : Après 2020, les gouvernements ont utilisé les technologies de traçage pandémique pour étendre la surveillance des citoyens. Évolution : Les applications de traçage et codes QR ont suscité des craintes d’État surveillant. En 2024, des fuites (comme le renouveau de PRISM par la NSA) et l’évolution du système de crédit social chinois ont montré comment les outils COVID étaient détournés. Aux États-Unis, des révélations en 2023 sur des demandes de données FBI-NSA aux entreprises technologiques (dizaines de milliers par an) rappellent les conspirations de l’ère Snowden — sauf que c’est maintenant une politique avérée. Les Pandora Papers (2021) Théorie : Une fuite massive de documents révélant comment des politiciens et milliardaires planquent leur argent dans des paradis fiscaux. Confirmation : Plus de 330 politiciens de 90 pays impliqués, dont des Français comme l’ex-ministre Bernard Tapie (avant sa mort) ou des proches de figures politiques. Pas de condamnations massives, mais ça a mis un coup de projecteur sur l’évasion fiscale — et les excuses bidon qui vont avec ! L’Affaire Benalla (suite, 2021) Théorie : Alexandre Benalla, ex-proche de Macron, déjà connu pour avoir joué les gros bras en 2018, refait parler de lui avec des passeports diplomatiques utilisés après son éviction. Confirmation : En 2021, il est condamné à 3 ans de prison (dont 1 ferme) pour violences et usage abusif de ses fonctions. En 2023, de nouvelles révélations sur ses liens avec des oligarques russes ont relancé les questions sur la sécurité de l’Élysée. Macron doit encore en avoir des sueurs froides ! Le Qatar Gate (2022) Théorie : Des eurodéputés auraient été payés par le Qatar pour faire du lobbying pro-Coupe du Monde et pro-régime. Confirmation : Fin 2022, des perquisitions à Bruxelles ont trouvé des valises de cash chez l’eurodéputée Eva Kaili. En
Des faits, rien que des faits sur la “pandémie”

Corinne Lalo est journaliste d’investigation et grand reporter plusieurs fois primée. Pour des médias comme TF1, TV5 monde ou France 3, elle couvre et révèle depuis quarante ans des scandales retentissants : le nuage de Tchernobyl, Greenpeace, l’affaire des Irlandais de Vincennes, le sang contaminé, le vaccin contre l’hépatite B, le Mediator, ou encore le Levothyrox. Son livre est basé uniquement sur des faits établis avec maintenant 5 années de recul. La pandémie fut événement artificiellement organisé. la peur a été orchestrée pour tétaniser la population. Les confinements et autres contre-mesures ont causées plus de mal que de bien. Les campagnes de vaccination se sont révélées “dangereuses et contreproductives” Le virus est une création de laboratoire …pour ne citer que les plus saillants. Elle résume largement ses arguments dans cet entretien réalisé pour la chaîne Youtube Tocsin.
Le Covid-19, le bilan qui pique très fort

Révélé par la crise Covid, le statisticien Pierre Chaillot présente dans cette vidéo du Cercle Aristote, une synthèse saisissante de cette période, contenu qu’il a développé dans ses deux derniers livres dont voici une très brève synthèse argumentaire. Sa méthodologie est de ne s’appuyer que sur l’exploitation des données brutes issues des institutions publiques telles que l’INSEE, EUROSTAT, la DREES ou encore les bases de pharmacovigilance, laissant aux lecteurs le loisir de refaire les calculs à partir des mêmes données. Son premier livre questionne la gravité de la crise du Covid-19, tandis que le second se focalise sur les impacts des vaxxins. Ensemble, ils forment une critique globale des politiques sanitaires, invitant à une relecture des chiffres officiels pour alimenter le débat public. Covid 19, ce que révèlent les chiffres officiels (2023) Dans ce premier ouvrage, Chaillot se penche sur la période initiale de la crise du Covid-19, principalement 2020 et 2021, pour interroger le récit officiel d’une pandémie exceptionnelle. L’auteur commence par examiner la surmortalité en France. Selon lui, lorsqu’elle est ajustée par tranches d’âge pour tenir compte du vieillissement de la population, la surmortalité de 2020 s’aligne sur celle de 2015, une année qu’il qualifie parmi les moins mortelles de l’histoire récente. Pour 2021, elle serait comparable à celle de 2018, également peu élevée. Il conteste ainsi l’idée d’une crise démographique majeure imputable au virus. Chaillot explore ensuite les causes possibles des décès attribués au Covid-19, notamment ceux survenus à domicile. Il suggère que ces morts pourraient résulter de l’abandon des soins pour d’autres pathologies graves (comme les AVC ou les crises cardiaques), d’une baisse des prescriptions d’antibiotiques ou encore de conditions de vie précaires (logements insalubres), exacerbées par une peur médiatique. Selon lui, ces facteurs auraient été sous-estimés au profit d’une focalisation exclusive sur le virus. Sur la gestion hospitalière, il remet en question les chiffres avancés concernant l’occupation des lits. Il soutient que les données ont été présentées de manière sélective, amplifiant la perception d’une saturation des services de santé. Il critique également la fiabilité des tests PCR, arguant que leur utilisation massive pour diagnostiquer le Covid-19 a conduit à une surévaluation de l’épidémie, les cas positifs n’étant pas nécessairement synonymes de maladie grave ou de décès. Reste la question des vaxxins. Pierre Chaillot affirme que les statistiques officielles ne montrent pas de différence significative entre vaccinés et non-vaccinés en termes d’hospitalisations ou de mortalité, remettant ainsi en cause leur efficacité présumée. Selon lui, les chiffres officiels, lorsqu’ils sont analysés dans leur globalité, révèlent des « anomalies gigantesques » qui contredisent le discours dominant. Victimes des vaccins Covid 19, ce que révèlent les chiffres officiels (2025) Dans son second livre, publié en 2025, Pierre Chaillot recentre son analyse sur les conséquences de la campagne de vaccination contre le Covid-19. Toujours basé sur des données officielles, cet ouvrage explore les effets indésirables des vaxxins, les évolutions démographiques et la reconnaissance des victimes potentielles. Chaillot commence par recenser les effets secondaires graves rapportés dans les bases de pharmacovigilance, comme les AVC, les infarctus, les myocardites, les cancers ou encore les aménorrhées. Il souligne que leur fréquence dépasse largement celle observée avec d’autres vaxxins, selon les données collectées en France et à l’international. Il met également en lumière une augmentation des décès, notamment chez les jeunes, dans plusieurs pays après le déploiement des vaxxins, établissant une corrélation temporelle qu’il associe à ces derniers. Un autre point central de son argumentation concerne la natalité. L’auteur observe une baisse généralisée des naissances depuis 2021, qu’il lie à des perturbations hormonales ou reproductives potentiellement induites par les vaxxins. Cette hypothèse s’appuie sur des statistiques démographiques qu’il présente comme un signal alarmant. Chaillot déplore ensuite ce qu’il appelle une « invisibilisation » des victimes. Il soutient que les personnes affectées par les vaxxins sont ignorées par les autorités, les médias et la société, en raison d’un déni collectif. Ce silence serait motivé, selon lui, par la difficulté à remettre en question la politique vaccinale et à assumer la responsabilité des décideurs. Il critique également l’absence d’études approfondies sur l’efficacité réelle et les risques des vaxxins, quatre ans après leur mise en circulation. Malgré des signaux clairs dans les données, aucune analyse officielle n’aurait été menée pour éclaircir ces questions. En conclusion, Chaillot appelle à une reconnaissance des victimes, appuyée par des chiffres qu’il rend accessibles et vérifiables en ligne. Il voit dans cette démarche un moyen d’éviter une répétition de cette « tragédie » et de briser le tabou entourant les effets vaxxinaux.
Autorisé à tuer – Licence to kill

Le documentaire VAXXED III explore les conséquences controversées des décisions prises autour des protocoles Covid et la mise en place des vaccins anti-covid. Children’s Health Defense, l’organisation fondée par RFK Jr met en lumière les témoignages de familles sur les effets secondaires graves et des décès après vaccination.Il critique les autorités de santé sur la gestion de la crise sanitaire ainsi que l’industrie pharmaceutique sur la vaccination, qui était censée être sûre et efficace, alors que cela c’est avéré ne pas être le cas.Des milliers de familles ont été détruites et laissées seules avec leur détresse. Doublage en français par @CuendetV et moi-même @aileastick1.
Nouvelles lumières sur la santé et l’assassinat de JFK

Ayant exercé toute sa vie aux États-Unis, neuro-chirurgien Jack Kruse conseille aujourd’hui le président du Salvador, travaille avec RFK Jr et Nicole Shanahan (ex-Google) sur les questions de santé. Quels rapports entre le vaccin pour la polio, le développement d’armes biologiques et l’assassinat de JFK ? Pourquoi les écrans partout autour de nous favorisent la lumière bleue ? Les révélations du Dr Kruse éclairent grandement l’histoire de la santé publique aux US comme dans le reste du monde.