Pour qui travaille Ursula von der Leyen ?

Entourée à Bruxelles de plusieurs dizaines de milliers de lobbystes, la présidente de la Commission européenne est au centre d’un vaste réseau de trafic d’influence. Avant même son arrivée à la tête de l’exécutif européen, Ursula von der Leyen était déjà membre de lobbys opaques : Forum économique mondial, Conférence de Munich sur la sécurité (financé par Lockheed Martin). Elle a également engraissé (indument) des cabinets de conseil comme McKinsey avec des centaines de millions d’euros lors de son passage au ministère allemand de la Défense entre 2013 et 2019. Sa gestion de la crise covid apparait aujourd’hui comme le plus grand scandale financier de l’histoire de l’UE. Les messages SMS qu’elle a échangé avec le patron du laboratoire Pfizer, Albert Bourla, pour négocier des contrats à hauteur de 35 milliards € restent encore secrets malgré les poursuites du New York Times et de nombreux collectifs. La “justice européenne”, directement liée aux intérêts d’Ursula von der Leyen, la couvre encore mais pour combien de temps ? La digue commence-t-elle à se fissurer ? Sentant le vent tourner, la présidente de la Commission européenne augmente toujours plus les dépenses, au mépris du Pacte budgétaire, comme avec son plan de 200 milliards € lancé le 11 février pour développer l’intelligence artificielle ou encore le plan ReArm Europe pour 800 milliards €… le tout pour préparer son mystérieux projet de “Nouvelle Europe” (Das neue Europa) en lien avec l’Agenda 2030 de l’ONU… Frédéric Baldan, auteur de “UrsulaGates : la compromission par les lobbys”, qui a porté plainte contre Ursula von der Leyen, notamment pour corruption et prise illégale d’intérêts, affirme détenir les contrats négociés avec Albert Bourla. Il dénonce une violation des droits fondamentaux et compare l’UE à une plateforme de détournement et de blanchiment d’argent public. Frédéric Baldan est ancien lobbyiste européen, premier plaignant dans l’affaire pénale contre Ursula von der Leyen, activiste des droits fondamentaux et auteur. L’affaire judiciaire dont Frédéric est à l’origine a été relayée par plus de 150 médias dans plus de 30 pays et a attiré presque 3000 autres victimes venant de toute l’Europe — constituées ou non —, dont des États membres de l’Union, des partis, des navigants ou encore des parents ayant perdu leur enfant en raison d’effets secondaires graves. Son action est reconnue comme historique et sans précédent dans l’UE.https://boutiquetvl.fr/accueil/frederic-baldan-ursulagates-la-compromission-par-les-lobbys
La stratégie du choc serait-elle appliquée à l’agriculture ?

La “stratégie du choc” est un concept popularisé par la journaliste Naomi Klein (“The Shock Doctrine : The Rise of Disaster Capitalism” publié en 2007). Selon elle, les crises – qu’elles soient des catastrophes naturelles, des crises économiques, des guerres, ou d’autres événements traumatiques – sont exploitées pour imposer des politiques économiques et sociales qui seraient autrement difficiles à mettre en place en temps normal. Autrement dit, il s’agit d’exploiter des moments de vulnérabilité pour redessiner le paysage politique et économique en faveur de ceux qui détiennent le pouvoir ou en profitent économiquement. Exactement la thèse que développe Tatiana Ventôse à l’agriculture en €urope dans cette vidéo. À compléter de cette conférence par la même :