George Soros ou l’art de dissoudre les nations avec des dollars

Survivant à l’oc­cu­pa­tion nazie de la Hongrie dans des condi­tions troubles, George Soros est un mil­liar­daire “phi­lan­thrope” apôtre de la “Société Ouverte” selon Karl Popper, son maître, c’est-​à-​dire d’un monde sans fron­tières. Aujourd’hui per­so­na non gra­ta en Chine, il est répu­té finan­cer tous sortes de mou­ve­ments et orga­ni­sa­tions capables de désta­billi­ser des gou­ver­ne­ments entiers. Pierre Antoine Plaquevent lui a consa­cré un livre (Soros et la socié­té ouverte, 2020, Éditions Culture et Racines). Il vient en com­pa­gnie de Lucien Cerise, son pré­fa­cier, pré­sen­ter l’in­quié­tant mil­liar­daire au micro d’André Bercoff. Voir éga­le­ment cette autre pré­sen­ta­tion plus syn­thé­tique par Pierre Antoine Plaquevent au micro de Nicolas Vidal :

Comment rendre acceptable l’inacceptable

Voici détaillé en quelques minutes avec brio une tech­nique essen­tielle de l’in­gé­nié­rie sociale :“La fenêtre d’Overton, aus­si connue comme la fenêtre de dis­cours, est une allé­go­rie qui désigne l’en­semble des idées, opi­nions ou pra­tiques consi­dé­rées comme accep­tables dans l’o­pi­nion publique d’une socié­té.  Ce terme est un déri­vé du nom de son concep­teur, Joseph P. Overton (1960 – 2003), un ancien vice-​​président du Mackinac Center for Public Policy qui, dans la des­crip­tion de sa fenêtre, a affir­mé l’i­dée que la via­bi­li­té poli­tique d’une idée dépend prin­ci­pa­le­ment du fait qu’elle se situe dans la fenêtre, plu­tôt que des pré­fé­rences indi­vi­duelles des poli­ti­ciens.  Selon la des­crip­tion d’Overton, sa fenêtre com­prend une gamme de poli­tiques consi­dé­rées comme poli­ti­que­ment accep­tables au regard de l’o­pi­nion publique exis­tante, et qu’un poli­ti­cien peut donc pro­po­ser sans être consi­dé­ré comme trop extrême, pour gagner ou conser­ver une fonc­tion publique.” (Wikipedia)

S'abonner à la
lettre d'infos
Edit Template
S'abonner à la lettre d'infos