Quand nos présidents qualifient le peuple français de “gens qui né sont riens”, de “sans-dents”, il y a de quoi se poser des questions. Selon Stanislas Berton, la caste qui les dirige mènent une guerre d’un nouveau genre contre les peuples : la guerre hybride dont l’effet est la destruction méthodique de nos sociétés.
La technocratie et sa mainmise sur tous les aspects de notre vie collective a pour but d’endormir les masses. Qui en sont les organisateurs ? Quels en sont les objectifs ?
De la subversion de notre droit continental, remplacé par un droit anglo-saxon où tout devient marchandise, à l’infiltration des structures de pouvoir en passant par toutes techniques de l’ingénierie sociale, les mondialistes ont multiplié les moyens de mener cette guerre hybride.
La nocivité du système socio-économique se manifeste déjà par des modifications du corps humain et l’augmentation des troubles mentaux. Face à projet d’établir un gouvernement mondial, une coalition internationale menée par la Russie et la Chine (et demain avec l’arrivée d’un Trump à la Maison Blanche ?) est entrée en dissidence pour défendre la souveraineté des Etats.
La dédollarisation et la fin du pétrodollar ont-elles déjà mis fin au projet hégémonique d’un monde unipolaire dirigé par l’empire US ? Si le mondialisme venait réellement à tomber, quelle pourrait être la suite des événements ? Stanislas Berton, spécialisé dans l’analyse économique et la gestion des risques, répond à toutes ces questions dans “Politique & Eco” avec la présentation du 4ème tome de son ouvrage “L’Homme et la Cité”.