Naomi Wolf est une journaliste activiste qui, jusqu’au Covid, était la chérie des médias US. Dans cet entretien avec la chaine Youtube Tocsin, elle fait état de son parcours et des révélations fracassantes que contient son livre The Pfizer Papers : Pfizer’s Crimes Against Humanity.
Il est basé sur les documents internes de Pfizer (450 000 pages) obtenus par un ordre judiciaire contre la volonté du laboratoire.
Voici les points saillants que le livre développe :
Il est basé sur les documents internes de Pfizer (450 000 pages) obtenus par un ordre judiciaire contre la volonté du laboratoire.
Voici les points saillants que le livre développe :
-
Essais cliniques défaillants : Les essais cliniques du vaccin à ARNm de Pfizer contre la COVID-19 étaient profondément biaisés, avec des protocoles inadéquats, et Pfizer savait dès novembre 2020 que le vaccin n’était ni sûr ni efficace.
-
Effets indésirables graves : Plus de 42 000 rapports d’effets indésirables (158 893 événements) ont été signalés à Pfizer dans les trois premiers mois post-autorisation (décembre 2020-février 2021), incluant plus de 1 000 décès. Pfizer a embauché 600 employés supplémentaires pour traiter ces rapports, prévoyant d’en recruter 1 800.
-
Manipulation des données : Pfizer a retardé l’enregistrement de décès pour éviter leur inclusion dans les données soumises pour l’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA), ce qui, selon les analystes, aurait empêché l’EUA si les décès avaient été rapportés à temps.
-
Atteintes à la reproduction : Les documents révèlent des dommages menstruels à grande échelle (72 % des effets indésirables concernaient des femmes, dont 16 % liés à des troubles reproductifs). Les nanoparticules lipidiques s’accumulaient dans les ovaires et traversaient la barrière placentaire, affectant les bébés in utero. Pfizer savait que le vaccin passait dans le lait maternel, causant des effets graves chez les nourrissons allaités, incluant un décès par défaillance multi-organique.
-
Myocardite et nouvelle maladie : La myocardite induite par le vaccin n’était ni rare, ni bénigne, ni transitoire. Les vaccins à ARNm ont créé une nouvelle catégorie de maladie multi-systémique appelée “CoVax Disease”.
-
Suppression du groupe placebo : Pfizer a vacciné environ 95 % des participants du groupe placebo d’ici mars 2021, éliminant le groupe témoin, rendant impossible l’évaluation comparative de la sécurité.
-
Complicité de la FDA : La FDA était informée des lacunes des essais cliniques et des dommages causés par le vaccin, mais a échoué à protéger la santé publique, demandant même à la cour de cacher les documents pendant 75 ans.
-
Immunité légale : Pfizer, le gouvernement américain et les entités de santé bénéficiaient de l’immunité légale via le Public Readiness and Emergency Preparedness Act (PREP Act), priorisant les profits sur la santé publique.
-
Retard stratégique : Pfizer disposait de données en octobre 2020 pour annoncer l’efficacité du vaccin, mais a retardé cette annonce jusqu’après l’élection présidentielle américaine de 2020, potentiellement pour des raisons politiques.
-
Crime contre l’humanité : Les auteurs soutiennent que les actions de Pfizer, en alliance avec les gouvernements occidentaux, constituent un crime intentionnel, avec des impacts particulièrement graves sur les femmes et les bébés.
Bref, la thèse de la diffusion d’une arme biologique pour réguler la population parait sérieusement étayée par cette analyse des documents Pfizer. Pas étonnant que Naomi Wolf soit désormais sur la liste noir des médias américains.
