Invité de la chaîne Géopolitique profonde, Ludovic Malot défend la thèse inquiétante d’un incendie orchestré à Notre Dame de Paris. La société Aubriat, impliquée dans le traitement des poutres de la cathédrale, a appliqué un gel anti-champignons. Le choix de faire intervenir cette société interroge d’autant plus que le logo de l’entreprise présente des similitudes troublantes avec des symboles ésotériques, renforçant les spéculations sur une conspiration.
Cette intervention soulève des doutes sur la sécurité des travaux réalisés sur ce patrimoine emblématique, écho aux controverses historiques liées à la restauration des monuments en France. Le phénomène de la fumée jaune durant l’incendie, attribué par certains au plomb fondu, a nourri des interprétations plus mystiques.
Cette couleur inhabituelle a conduit certains à y voir des signes d’influences occultes, évoquant la symbolique associée à la fumée dans des rituels magiques. Notre-Dame, chargée d’histoire et de spiritualité, est souvent associée à des événements au-delà du rationnel, et son aura a longtemps captivé l’imaginaire collectif. Ces éléments renforcent l’idée que des forces symboliques ou culturelles pourraient être à l’œuvre autour de cet événement.
L’ancien architecte de Notre Dame expliquait à propos de l’incendie : « Un bois de chêne de cet âge là né brule pas comme ça (…) toute l’électricité avait été refaite, avec des alarmes en cas de départ de feu ! Pour ce genre de monument, c’est très encadré. »
— Myriam Palomba (@myriampalomba) November 30, 2024
Alors que s’est-il… pic.twitter.com/skkDNAMoeW
Tout juste inaugurée, la restauration de Notre-Dame n’est pas plus sans soulever quelques questions comme dans cette analyse orientée maçonnerie :