Incendie de Notre-​Dame, accident ou pas ?

Invité de la chaîne Géopolitique pro­fonde, Ludovic Malot défend la thèse inquié­tante d’un incen­die orches­tré à Notre Dame de Paris. La socié­té Aubriat, impli­quée dans le trai­te­ment des poutres de la cathé­drale, a appli­qué un gel anti-​champignons. Le choix de faire inter­ve­nir cette socié­té inter­roge d’autant plus que le logo de l’entreprise pré­sente des simi­li­tudes trou­blantes avec des sym­boles éso­té­riques, ren­for­çant les spé­cu­la­tions sur une conspiration. 

Cette inter­ven­tion sou­lève des doutes sur la sécu­ri­té des tra­vaux réa­li­sés sur ce patri­moine emblé­ma­tique, écho aux contro­verses his­to­riques liées à la res­tau­ra­tion des monu­ments en France. Le phé­no­mène de la fumée jaune durant l’incendie, attri­bué par cer­tains au plomb fon­du, a nour­ri des inter­pré­ta­tions plus mystiques. 

Cette cou­leur inha­bi­tuelle a conduit cer­tains à y voir des signes d’influences occultes, évo­quant la sym­bo­lique asso­ciée à la fumée dans des rituels magiques. Notre-​Dame, char­gée d’histoire et de spi­ri­tua­li­té, est sou­vent asso­ciée à des évé­ne­ments au-​delà du ration­nel, et son aura a long­temps cap­ti­vé l’imaginaire col­lec­tif. Ces élé­ments ren­forcent l’i­dée que des forces sym­bo­liques ou cultu­relles pour­raient être à l’œuvre autour de cet événement.

Tout juste inau­gu­rée, la res­tau­ra­tion de Notre-​Dame n’est pas plus sans sou­le­ver quelques ques­tions comme dans cette ana­lyse orien­tée maçonnerie :

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